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mardi 28 octobre 2008

Le Chef de l’ Armée et le directeur du service Migration se trouvent à Neiba à cause des incidents avec des haïtiens ;

il y a 450 haïtiens sous protection - il Y A TROIS MORTS
SAINT-DOMINGUE. - 450 citoyens haïtiens sont gardés sous haute protection de le l’arméee nationale la Forteresse Cambronal de Neiba, pour échapper des menaces et des persécutions perpétrées par des dominicains, échauffés par l'incident produit ce lundi durant lesquels trois personnes ont trouvé la mort.
Dans la région se trouvent donc le chef de l’armée nationale, le Major général, Joaquin Virgilio Pérez Félix et le directeur du service de Migration, Major général José Aníbal Sans Jiminián, qui se sont rendus sur les lieux pour être au cœur de la solution du problème qui a commencé après les incidents ou ont perdu la vie deux haïtiens et un dominicain. Pérez Felix a déclaré au journal Listin Diario que tout est contrôlé et comme une partie de la mesure pour restituer la tranquillité à la zone il a donné l’ordre de pourvoir au logement des 450 haïtiens à l’intérieur de l’enceinte militaire de la zone et que tant qu'ils seront ici il seront nourris et protégés.
Deux haïtiens sont morts des mains de dominicains dans des confrontations violentes avec des bâtons et des pierres dans plusieurs quartiers de Neiba, qui se sont produite après qu'un immigrant aurait assassiné un ressortissant apparemment pour lui voler une motocyclette.
Deux des victimes ont été identifiées comme julio César Díaz (dominicain) et Manuel Jenis (haïtien).
Auteur: Víctor Mañana- 10/28/2008

http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=79040
Traduction JLJ pour HCYN

Des membres de l'Armée Dominicaine protègent des citoyens haïtiens qui se sont mis à l’abri dans l’enceinte de la forteresse de Neyba

Auteur Carlos Devers
Traduction : JLJ pour HCYN
Des membres de l'Armée Nationale protègent à 77 citoyens haïtiens après que des ressortissants de ce pays et des dominicains ont animé de dures confrontations qu'ont fait deux morts et neuf blessés.
Les haïtiens ont trouvé refuge entre les mûrs de la Forteresse Cambronal, de Neyba, tandis que les organismes de sécurité de l'état garantissent la protection des nationaux haïtiens.
Le décès de d'un dominicain, dans le secteur les Malouines de Neyba, a provoqué la colère de ses compatriotes qui ont blessé onze personnes dont un a succombé à ses blessures à l'Hôpital de Barahona, où a été transféré le groupe.
Les morts ont été identifié comme Julio Cean Carvajal de nationalité dominicaine et l’haïtien Manuel Yenit, les autres blessés, neuf au total, sont internes dans un centre hospitalier de la région Sud ou ils reçoivent des soins.
La tension s’est appropriée de cette localité du au fait que ses habitants croient que les confrontations entre dominicains et les haïtiens pourraient continuer.
Toutefois la sécurité dans la ville de Neyba a été renforcée , avec la présence davantage de policiers et militaires pour éviter de nouvelles confrontations provoquées hypothétiquement par une agression perpétrée par un haïtien sur un dominicain, pour le dépouiller d'une motocyclette.
http://www2.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=126004

Le nombre de morts s’élève à trois suites aux incidents de Neiba

Neiba.- Un professeur de Karaté, d’origine haïtienne, venu au pays à l’âge de neufs ans et adopté par des dominicains, a été retrouvé mort ce matin, près de sa maison ;le cadavre présentait l’impact de plusieurs coups de machette, s’élevant ainsi à trois le nombre de morts suite aux incidents survenus ce lundi ici. Le journaliste Buenaventura Jimenez qui a fait part de l’information a identifié le mort comme Solano Mendez Perez âgé de 28 ans. L’informateur a dit que le tué résidait dans le quartier Los Coccos située dans la partie haute de cette communauté, ce qui a provoqué de l’indignation au sein des habitants de la zone.
Il a manifesté que les informations obtenues indiquent que Mendez Perez sortit de son école de Karaté pour se rendre à son domicile en ayant été averti par quelques uns de ses élèves de faire attention au cours du trajet vers sa maison, il aurait répondu qu’avec lui il n’y a pas de problème.
Le journaliste Ventura a informé que le décédé était venu en République Dominicaine à l’âge de 9 ans et avait été déclaré et adopté par des dominicains. Il a informé aussi que Mendez Perez pratiquait de la musculation.
Les incidents de Neiba ont eu lieu après qu’un citoyen haïtien aurait tué à coups de machette le mototaxiste dominicain Julio Cesar Dias Perez, pour lui soustraire sa motocyclette.
Cette situation fit que des milliers de dominicains sortirent armés de machettes, de couteaux et de bâtons et commencèrent à attaquer tous les haïtiens rencontrés dans les rues. Au cours de ces incidents, onze haïtiens résultèrent blessés avec le décès par la suite de Manuel Yeni de 21 ans à l’hôpital Jaime Mota de Barahona, tandis que les autres se trouvent encore hospitalisés.
Le Dominicain a été tué par l’étranger A los Grajos, qui a été dépouillé de sa moto CG-125, de couleur bleue qui a été récupéré sur le tronçon de route Neiba-Colonia mixta de Duvergé

Article Traduit de l'espagnol par JLJ pour HRV

INCIDENTS: Trois morts et onze blessés dans des confrontations entre dominicains et haïtiens à Neiba

SAINT-DOMINGUE. - Deux citoyens haïtiens sont morts des mains de dominicains dans des confrontations violentes avec des bâtons et des pierres dans plusieurs quartiers de Neiba, dans le sud-ouest dominicain, qui ont eu lieu après qu'un immigrant aurait assassiné un ressortissant dominicain apparemment pour lui voler une motocyclette, a informé aujourd'hui une source officielle.
Deux des victimes ont été identifiées comme julio César Díaz (dominicain) et Manuel Jenis (haïtien).
Les faits se sont produits hier et durant ces derniers ont résulté blessés dix immigrants haïtiens et un mineur dominicain, a déclaré à Efe un fonctionnaire du détachement de la Police de Neiba, une commune du sud-ouest de la République dominicaine.
Les confrontations ont débuté après qu'un haïtien, non identifié et en fuite, aurait coupé la tête au dominicain Julio César Díaz, de 32 années, apparemment pour lui voler la motocyclette qui assurait son transport.
En représailles au décès de ce dominicain, des parents et des amis de celui-ci sont sortis dans les rues à la recherche de résidants haïtiens de la zone, qu’ils ont agressé et blessé à coups de bâtons et à armes blanches.
Durant ces faits violents Manuel Jenis a perdu la vie, tandis que dix autres immigrants ont résulté blessés, certains d’entre eux de gravité, comme a ajouté la source à Efe.
Postérieurement, les autorités ont trouvé le cadavre d'un autre haïtien, qui jus qu'à présent n'a pas été identifié.
Plusieurs immigrants ont été transféré au détachement de la Policier comme mesure de « prévention », a ajouté le fonctionnaire.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=79032

Des dominicains attaquent des haïtiens pour un meurtre

Faustino Reyes Díaz –
10/28/2008 NEIBA.
- Le décès d'un dominicain mototaxiste , supposé causé par un haïtien pour le dépouiller de sa motocyclette, a produit une persécution contre des haïtiens, certains de d'eux ont été blessés et d'autres qui ont demandé une protection des autorités ont été enfermées dans les locaux de la Police Nationale pour éviter d’être attaqués.
Le cadavre de César Carvajal, de 28 ans, a été trouvé à un kilomètre du trajet Neiba-La Colonie Mixte de Duvergé, avec trois coups de machette au cou et deux autres à la tête.
Le meurtre s’est produit à 9:00 du matin bien que le cadavre ait été retrouvé à 2:00 de l'après-midi, selon le diagnostique du médecin légiste Freddy Medina.
Le jeune décédé résidait avec ses parents dans le quartier Puerto Plata d'ici et hier matin il a été abordé dans le Parc Duarte par un haïtien, jusqu'à ce moment disparu, pour qu'il le transfère à une zone agricole appelée les Grajos, selon des compagnons du jeune homme .
« Le haitien m'a demandé de le transporter et j'ai refusé parce que je l'ai trouvé étrange vu son insistance. Le garçon décédé est alors arrivé et il est parti avec lui », a déclaré un mototaxiste identifié comme Caché, en commentant qui l'étranger payait 50 pesos pour son transfert.
L'agresseur présumé a laissé abandonnée la motocyclette pour s'enfuir dans les broussailles.
Cette situation a produit une persécution contre des haïtiens, ce qui a motivé l'intervention des autorités, qui ont assumé la protection de ceux qui l'ont demandée, ont informé le procuruer adjoint du district Judiciaire de la province Baoruco, Franklin Ferreras, et le colonel de la Police, Carlos Virgilio Felix Suárez.
Patricio Tani, originaire de San Bambón, Haïti, a été poursuivi par une multitude dans le quartier Puerto Plata qui lui a causé plusieurs blessures à l’arme blanche au corps avec et se trouve interné à l'Hôpital San Bartolomé.
Le blessé a dit qu'il a été sauvé grâce à l'intervention d'amis dominicains qui l’a été transféré au centre d'aide.
Ila été informé hier soir qu’à l'Hôpital San Bartolomé avaient été transférés onze haïtiens, tandis que plus de 150 étaient protégés dans les locaux de la Police pour éviter la persécution.
Entre les personnes qui ont été transférés à la Police pour la protection de leurs vies, se trouvaient des mères venant d’accoucher, des enfants et des adolescents, dont beaucoup sont des étudiants qui ont été repris dans les centres scolaires où ils étudient.

http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=78989

10,2 millions de dollars pour le secteur agricole haïtien

Une aide de la FAO et du FIDA pour la relance de l’économie agricole victime des dernières inondations
lundi 27 octobre 2008,
Radio Kiskeya

L’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) ont annoncé lundi une enveloppe de 10,2 millions de dollars en faveur de la relance de l’agriculture en Haïti, un secteur sévèrement touché lors du récent passage de plusieurs ouragans.
Selon un communiqué rendu public à Rome, l’octroi de cette aide s’inscrit dans le cadre d’un accord que la FAO et le FIDA ont paraphé le 22 octobre dernier avec le gouvernement haïtien.
"Cette aide est la bienvenue quand on sait que Haïti doit relever un double défi : reconstruire après les ravages provoqués, en août et septembre, par les cyclones avec des pertes évaluées de source officielle à 500 millions de dollars et nourrir la population dont une large fraction souffrait déjà du fait des pénuries alimentaires", souligne le communiqué.
Avancés par le FIDA, les 10,2 millions de dollars permettront la mise en œuvre de l’Initiative de la FAO contre la flambée des prix alimentaires. Ils font partie d’un programme d’assistance plus large destiné à soutenir les petits agriculteurs qui représentent 80% de la main-d’oeuvre agricole.
Les deux organismes s’engagent à encourager la relance de la production agricole nationale, l’augmentation de la disponibilité des produits alimentaires de base sur les marchés et le renforcement de la sécurité alimentaire au profit de l’ensemble de la population. Grâce à ce projet à effet immédiat devant durer 15 mois, plus de 240.000 petits paysans haïtiens devraient recevoir des intrants, en particulier des semences de céréales et de légumineuses. Il est également prévu une assistance au développement des cultures de manioc, de patates douces et de bananes. Ainsi, la capacité de production de semences du pays et les organisations agricoles locales seront renforcées.
"Amélioration de la production agricole en 2008-2009, soutien à des centaines de milliers de petits agriculteurs et à leurs familles touchés par la flambée des prix alimentaires, tels sont les objectifs à atteindre le plus rapidement possible", soutiennent la FAO et le FIDA.
Le communiqué rappelle qu’au cours des quatre dernières années, les prix des denrées alimentaires ont subi une hausse moyenne de 18%. Le renchérissement de certains produits de base tels le riz, le maïs, les fèves et l’huile a fait décliner le pouvoir d’achat et le niveau de vie des populations urbaines et rurales de divers pays du tiers-monde.
En Haïti, des "émeutes de la faim" meurtrières avaient, en avril dernier, mis en péril la sécurité des vies et des biens pendant trois jours et ébranlé l’autorité de l’Etat jusqu’à porter le Sénat à renvoyer le Premier ministre Jacques-Edouard Alexis dont le gouvernement avait été jugé incapable de juguler la crise. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5366
Les instances qui veulent bien investir dans l’alimentation en Haïti semblent vouloir inscrire – enfin- leurs réflexions dans une attitude pour une fois plus cohérente que d’habitude. Il est évident que lutter contre la faim en distribuant des rations d’aliments à d’innombrables affamés c’est tout simplement vouloir combler de pierres un océan (comme on a coutume à dire chez nous !)
C’est un refus catégorique et un croche-pied à la formule chinoise qui traduit la philosophie de la bonne solidarité. Enseigner à pêcher au lieu de donner et distribuer des poissons.
Pendant les secousses humanitaires provoquées par les émeutes de la faim, puis le coup de grâce donné par la furie des cyclones et ouragans, les ONG qui s’occupent de la faim – et non de l’alimentation – ont fait la une de l’actualité. Mais on avait tendance à croire que leurs actions se limitaient à la gestion de l’urgence extrême. A chaque déclaration elles faisaient état de la demande grandissante et proportionnelle au besoin. Leurs interventions ne visaient nullement l’origine du problème et les solutions à court moyen et long termes n’étaient point envisagées.
Aujourd’hui, que la FAO et le FIDA se lancent dans une action qui vise la production agricole, c’est dire qu’enfin on veut attraper le serpent par la tête.
Des bémols existent certes. Et le plus intéressant maintenant reste à savoir sur quelle base et sur quelle unité organisationnelle paysanne vont s’appuyer ces actions pour une meilleure efficacité.
Il faudrait aussi une grille d’évaluation claire et compréhensible de façon à juger de la pertinence, l’utilité et la pérennité de ces projets.

Les pays ibéroaméricains envisagent de fournir une aide post-cyclonique à Haïti

Une annonce qui devrait intervenir à l’issue du XVIIIe sommet ibéroaméricain, cette semaine au Salvador
lundi 27 octobre 2008,
Radio Kiskeya

Le XVIIIe sommet ibéroaméricain, qui s’ouvre mercredi à San Salvador, devrait déboucher sur l’adoption d’un plan de reconstruction d’Haïti, dévastée par des ouragans et tempêtes tropicales l’été dernier, ont révélé lundi des médias lationaméricains.
En cas d’approbation, l’aide de l’organisation ibéroaméricaine passera par son secrétariat général.
Une assistance devrait être également fournie à Cuba, victime du passage dévastateur de deux cyclones.
La crise financière internationale qui secoue les grands marchés capitalistes et la politique des pays européens en matière d’immigration seront les thèmes centraux du sommet qui réunira les dirigeants des pays d’Amérique latine et ceux des anciennes métropoles espagnole et portugaise.
Tous les chefs d’Etat et de gouvernement des pays concernés se réuniront jusqu’à jeudi après-midi dans la capitale salvadorienne, à l’exception notable des Présidents cubain Raùl Castro et vénézuélien Hugo Chàvez. spp/Radio Kiskey
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5367
Des maires dans le collimateur de la justice Une semaine après l’arrestation du maire de Léogane, Santos Alexis, des fonctionnaires du ministère de l’intérieur ont réalisé une évaluation des biens de l’administration communale. Les membres de la délégation se sont entretenus avec les employés de la Mairie alors que les deux maires adjoints étaient absents.
Tandis qu’il est incarcéré au commissariat de Petit Goave, Santos Alexis, a appris le décès de son frère Rodrigue Alexis, directeur général de la Mairie. Le maire accusé d’avoir détourné plusieurs millions de gourdes avait comparu par devant le chef du parquet mercredi dernier.
D’autre part, le maire de Grande Saline, Hérold Rousseau, accusé d’avoir blessé par balles deux citoyens de sa commune, a été libéré contre versement d’une caution. Des manifestants ont réclamé hier lundi le départ des membres du cartel, estimant que M. Rousseau est un criminel et un corrompu.
Ils souhaitent une intervention du ministère de l’intérieur pour limoger M. Rousseau qui selon eux a fait montre d’incompétence. Une nouvelle manifestation est prévue pour ce mercredi 29 octobre.
Par ailleurs, le maire de Jérémie, accusé d’avoir vandalisé les matériels d’une station de radio communautaire est incarcéré depuis plusieurs semaines.
Des responsables d’associations régionales de maires ont protesté contre l’incarcération selon eux illégale de certains de leurs membres. Le maire adjoint de Cité Soleil, Benoît Gustave, déplore que des maires soient incarcérés sans qu’il y ait au préalable une enquête prouvant leur implication dans des actes de malversation.
Vendredi dernier, le délégué départemental de l’Ouest, Michel A. Bernardin avait demandé aux maires des 20 municipalités sous sa juridiction de lui soumettre un rapport financier mensuel. Faisant remarquer que le rapport sera ensuite acheminé au ministère de l‘intérieur, le délégué a mis l’accent sur la nécessité d’une meilleure gestion des municipalités.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14260
Qui sont-ils ? D’où sortent-ils ses parfaits inconnus qui ont été élus maires de nos villes ? Le maire n’est-il pas considéré comme le premier citoyen de la ville ?
Que disent les fiers Léoganais, les jacméliens, les port-au-princiens, c’est tout ce que vous avez pu choisir ?
Si Haïti doit s’appuyer sur ces gestionnaires pour la décentralisation, on va aller très très loin…

Confusion sur la rentrée scolaire lundi aux Gonaïves

Alors que le maire Stephen Moïse soutient que plus de 25 écoles fonctionnent, l’UNNONH parle d’un report au 10 ou au 26 novembre dans la ville sinistrée
lundi 27 octobre 2008, Radio Kiskeya
La rentrée des classes reportée à lundi aux Gonaïves (Artibonite, nord), la ville la plus touchée par les dernières inondations, a été fortement perturbée au point de susciter des prises de position contradictoires des autorités locales et d’un syndicat d’enseignant sur la reprise effective des activités académiques.
Pour le maire Stephen « Topa » Moïse, avec près d’un mois de retard sur les autres régions, les cours ont repris depuis la semaine dernière dans la Cité de l’indépendance. Pas moins de 25 établissements scolaires fonctionnent, selon l’élu qui se félicite des progrès réalisés dans le processus d’assainissement de la ville, permettant la libre circulation piétonne et automobile dans divers quartiers.
M. Moïse s’est toutefois plaint de la situation d’autres écoles transformées en abris provisoires depuis le passage en août et septembre des ouragans. Leurs salles de classes ne sont toujours pas libérées et continuent à héberger des sinistrés.
En revanche, le coordonnateur de l’Union nationale des normaliens haïtiens (UNNOH) dans le Bas-Artibonite, Paul Charles, a affirmé que la plus grande confusion régnait sur la réouverture des classes fixée alternativement au 10 ou au 26 novembre. Se prononçant pour la reprise des activités scolaires que souhaitent vivement les enseignants, le syndicaliste reproche aux autorités leur irresponsabilité face à cette situation.
Divers établissements scolaires ont été détruits ou endommagés dans la ville des Gonaïves et ses environs où des centaines de personnes ont été tuées et d’énormes dégâts matériels enregistrés lors des intempéries d’août et de septembre. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5368